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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 06:53

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Quelques miracles parmi les miliers survenus via la Médaille miraculeuse de la rue du Bac, cette médaille que St Maximilien Kolbe répandait avec profusion en les appelant ses "cartouches contre le démon".

 

aujourd'hui commençons par les plus connus :

Le premier miracle vécu justement par l'archevêque de Paris qui venait d'en autoriser la diffusion : Mgr de Quélen, en effet, se présenta avec la Médaille à la porte d’un homme que son apostasie avait rendu tristement célèbre. Il allait mourir, refusant de se réconcilier avec Dieu. L’archevêque fut éconduit. Il redoubla de prière et de confiance en la Médaille de l’Immaculée. Durant la nuit, Mgr de Quélen fut appelé au chevet de celui qui avait renié sa foi et ses engagements. Touché par la grâce, le moribond mourut en paix dans les bras de l’archevêque de Paris.

 

Me deuxième très célèbre est la conversion d'Alphonse de Ratisbonne qui était juif, le 20 janvier 1842. A l’occasion d’un voyage en Italie, ce jeune israélite s’arrêta à Rome où il rencontra le baron de Bussières, catholique ardent et convaincu. Rempli de compassion pour son jeune ami et poussé par une force extraordinaire qui lui faisait braver toutes les difficultés, le baron de Bussières chercha à conduire Ratisbonne à la connaissance de la vérité. Le jeune homme répondit par la raillerie à toutes les tentatives du baron. Sa conclusion était toujours la même: « Je suis juif, et je mourrai juif. » Le baron obtint de lui, cependant, qu’il portât au cou une Médaille Miraculeuse et récitât matin et soir le « Souvenez vous. »

Cette prière devint comme une obsession dans l’âme du jeune homme; mais plus son ami cherchait à le persuader de la vérité du christianisme, plus Ratisbonne affirmait son incrédulité et même son aversion. Un ami du baron qui avait promis de prier pour cette conversion vint à mourir subitement, et, alors qu’on préparait les obsèques à l’église Saint-André, le baron s’y rendit pour régler quelques démarches. Il était accompagné de Ratisbonne, rencontré « par hasard » – nous dirons « providentiellement » – dans la rue et il entra avec lui dans l’église. « J’étais depuis un instant dans l’église, raconte le converti, lorsque, tout à coup, je me suis senti saisi d’un trouble inexprimable. J’ai levé les yeux; tout édifice avait disparu à mes regards; une seule chapelle avait, pour ainsi dire, concentré toute la lumière et au milieu de ce rayonnement apparut, debout, sur l’autel, grande, brillante, pleine de majesté et de douceur, la Vierge Marie, telle qu’elle est sur ma Médaille; une force irrésistible m’a poussé vers elle. La Vierge m’a fait signe de la main de m’agenouiller, elle a semblé me dire: « C’est bien! » « Elle ne m’a point parlé, mais j’ai tout compris. » La conversion de Ratisbonne fut instantanée et parfaite. On lui conféra bientôt le baptême et, cinq ans plus tard, ayant renoncé au monde, il reçut l’ordination sacerdotale. Il mourut en odeur de sainteté, en 1884.

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