Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : GSF
  • : blog de la fraternité Saint François
  • Contact

Cholettre

Contact

3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 09:09

C’est le premier séminaire catholique à ouvrir à Cuba depuis plus de cinquante ans ! Il pourra recevoir une centaine de séminaristes. La première pierre de ce séminaire avait été bénite par Jean-Paul II lors de son voyage apostolique à Cuba en 1998.

 

et autre très bonne nouvelle : la première ordination depuis 40 ans sera célébrée le 12 décembre au Laos.

Partager cet article
Repost0
1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 06:52

http://blog.beliefnet.com/deaconsbench/communion_of_saints.jpg

Quelle belle fête familiale!

Nous fêtons en ce jours la communion entre le ciel et la terre à travers tous nos frères et soeurs du ciel qui demeurent proches de nous, prient pour nous et nous bénissent! 

 

Ainsi ste Thérèse qui promettait d'envoyer des roses sur la terre une fois au ciel, et st Maximilien Kolbe qui s'écriait, qu'ici il ne pouvait travailler que d'une seule main, car de l'autre il devait s'accrocher au ciel, mais qu'une fois au ciel, c'est des deux mains qu'il travaillerait! Et combien d'autres saints moins connus, ou de proches de nos familles...!

 

Et nous tous formons l'Eglise! Saints déjà au ciel et graines de saints, saints en puissance,  véritables potentiels de sainteté encore en travail sur terre que nous sommes chacun, unis en Christ!

Saints en devenir, et saints en chemin, car "C'est sur terre que se fabriquent les saints!" comme le disait st Joseph de Coppertino. Voici l'appel, la vocation, l'identité profonde de chacun!

 

Car tous temples de Dieu, porteurs de son image, de sa ressemblance!

A l'exemple de Marie: tabernacles de Dieu!

 

Aussi, bonne fête à tous, saints!

 

http://www.devinrose.heroicvirtuecreations.com/blog/wp-content/uploads/2009/07/all_saints_day.jpg

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 06:49

c'était hier, place st Pierre, extrait:

"Vous ne pouvez pas et vous ne devez pas vous accommoder d'un amour réduit à une marchandise d'échange, à consommer sans respect pour soi et pour les autres, incapable de chasteté et de pureté: cela n'est pas la liberté. Beaucoup de l'amour proposé par les médias et internet n'est pas de l'amour mais de l'égoïsme, de l'enfermement: il vous donne l'émotion d'un instant mais il ne vous rend pas heureux. Certainement, vivre l'amour d'une manière vraie nécessite des sacrifices. Sans renoncements, on n'arrive jamais sur ce chemin. Mais je suis sûr que vous n'avez pas peur de l'effort que représente un amour contraignant et véritable: c'est le seul qui à la fin du compte donne la vraie joie".

via le Figaro

Partager cet article
Repost0
29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 06:22

La Mount Calvary Episcopal Church de Baltimore (Maryland) vient de voter, dimanche dernier, son désir d’entrer dans l’Église catholique. Cette très petite “congrégation” épiscopalienne (les anglicans aux États-Unis) en opposition à la dérive de l’épiscopalisme aux États-Unis (clergé féminin, ordination de gays et de lesbiennes) a soumis au vote de ses 45 membres en âge d’y procéder, son avenir, et ce sous la surveillance de responsables du diocèse épiscopalien. 28 électeurs étaient présents à la votation : 24 ont décidé de rompre avec l’épiscopalisme, deux y étaient opposés et deux autres se sont abstenus. La paroisse a donc décidé de passer à l’Église catholique plutôt que de demander son incorporation dans l’Anglican Church of America, membre de la Traditional Anglican Communion (un ensemble de communautés anglo-catholiques qui a rompu avec la Communion Anglicane et souhaite rentrer dans le giron de l’Église). Les partants vont écrire à l’archidiocèse catholique de Baltimore pour savoir la démarche à suivre pour intégrer l’Église, et vont avoir d’âpres discussions avec le diocèse épiscopalien pour ce qui est de la dévolution des biens mobiliers et immobiliers de la paroisse.

via americatho

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2010 4 28 /10 /octobre /2010 06:12

Selon Sam Yeghnazar, fondateur de la mission «Elam Ministries» et orateur au Congrès Lausanne III, l’Iran est le pays du monde le plus réceptif à l’Evangile. Des dizaines de milliers d’Iraniens se sont tournés vers le Christ ces dernières années. «Trahis par le gouvernement, déçus par la religion, déprimés par les perspectives d’avenir, les Iraniens qui placent leur confiance en Jésus-Christ sont complétement transformés» développe le missionaire chrétien.
Bien que le Moyen-Orient soit souvent assimilé à la violence, cette région du monde compte une croissance importante du christianisme parmi les musulmans. Au cours des trente dernières années, plus de musulmans auraient embrassé la foi chrétienne que dans les 1300 années passées.

Source: Christianisme Aujourd'hui/Christian Post

Partager cet article
Repost0
27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 04:45

Décidément notre saint Père fait le tour des grandes saintes franciscaines, avec ses catéchèses du mercredi, après celles sur ste Claire dont nous vous avons déjà parlé sur ce blog. Mercredi dernier il a choisi de parler de Ste Elisabeth de Hongrie!

Aujourd'hui, je voudrais vous parler de l'une des femmes du Moyen âge ayant suscité le plus d'admiration ; il s'agit de sainte Elisabeth de Hongrie, appelée également Elisabeth de Thuringe.

Elle naquit en 1207 ; les historiens débattent sur son lieu de naissance. Son père était André II, riche et puissant roi de Hongrie qui, pour renforcer les liens politiques, avait épousé la comtesse allemande Gertrude d'Andechs-Merania, sœur de saint Edwige, elle-même épouse du duc de Silésie. Elisabeth vécut à la cour de Hongrie les quatre premières années de son enfance uniquement, avec sa sœur et ses trois frères. Elle aimait le jeu, la musique et la danse ; elle récitait fidèlement ses prières, et manifestait déjà une attention particulière pour les pauvres, qu'elle aidait au moyen d'une bonne parole ou d'un geste affectueux.

Son enfance heureuse fut brusquement interrompue lorsque, de la lointaine Thuringe, arrivèrent des chevaliers pour la conduire à son nouveau domicile, en Allemagne centrale. Selon la coutume de l'époque, en effet, son père avait établi qu'Elisabeth devienne princesse de Thuringe. Le Landgrave ou comte de cette région était l'un des souverains les plus riches et influents d'Europe au début du XIIIe siècle, et son château était un centre de splendeur et de culture. Mais derrière les fêtes et la gloire apparente se cachaient les ambitions des princes féodaux, souvent en guerre entre eux, et en conflit avec les autorités royales et impériales. Dans ce contexte, le Landgrave Herman accueillit bien volontiers les fiançailles entre son fils Ludovic et la princesse hongroise. Elisabeth quitta sa patrie pourvue d'une riche dot et d'une importante suite, composée notamment de ses demoiselles de compagnie personnelles, dont deux demeureront ses amies fidèles jusqu'à la fin. Ce sont elles qui nous ont laissé de précieuses informations sur l'enfance et la vie de la sainte.

Après un long voyage, ils arrivèrent à Eisenach, pour monter ensuite vers la forteresse de Wartburg, l'imposant château dominant la ville. C'est là que furent célébrées les fiançailles de Ludovic et Elisabeth. Au cours des années qui suivirent, tandis que Ludovic apprenait le métier de chevalier, Elisabeth et ses compagnes étudiaient l'allemand, le français, le latin, la musique, la littérature et la broderie. Bien que les fiançailles avaient été décidées pour des raisons politiques, entre les deux jeunes gens naquit un amour sincère, animé par la foi et le désir d'accomplir la volonté de Dieu. A l'âge de 18 ans, Ludovic, après la mort de son père, commença à régner sur la Thuringe. Mais Elisabeth devint l'objet de critiques voilées, car sa façon de se comporter ne correspondait pas à la vie de la cour. Ainsi, la célébration du mariage elle aussi fut privée de tout faste, et les dépenses pour le banquet furent en partie dévolues aux pauvres. Dans sa profonde sensibilité, Elisabeth voyait les contradictions entre la foi professée et la pratique chrétienne. Elle ne supportait pas les compromis. Un jour, en entrant dans l'église en la fête de l'Assomption, elle enleva sa couronne, la déposa devant la croix et demeura prostrée au sol, le visage couvert. Lorsque sa belle-mère lui reprocha son geste, elle répondit : « Comment moi, misérable créature, puis-je continuer de porter une couronne de dignité terrestre, lorsque je vois mon Roi Jésus Christ couronné d'épines ? ». Elle se comportait devant Dieu comme envers ses sujets. Dans les Dépositions des quatre demoiselles de compagnie, nous trouvons ce témoignage : « Elle ne consommait aucune nourriture sans s'assurer auparavant qu'elle provenait des propriétés et des biens légitimes de son époux. Tout en s'abstenant des biens procurés de façon illicite, elle se prodiguait pour dédommager ceux qui avaient subi une violence » (nn. 25 et 37). Un véritable exemple pour tous ceux qui occupent des rôles de guide : l'exercice de l'autorité, à tous les niveaux, doit être vécu comme un service à la justice et à la charité, dans la recherche constante du bien commun.

Elisabeth pratiquait assidûment les œuvres de miséricorde : elle donnait à boire et à manger à ceux qui frappaient à sa porte, elle procurait des vêtements, elle payait les dettes, elle prenait soin des malades et enterrait les morts. En descendant de son château, elle se rendait souvent avec ses servantes dans les maisons des pauvres, apportant du pain, de la viande, de la farine et d'autres aliments. Elle remettait la nourriture personnellement et contrôlait avec attention les vêtements et les lits des pauvres. Ce comportement fut rapporté à son mari, qui non seulement n'en fut pas ennuyé, mais qui répondit aux accusateurs : « Tant qu'elle ne vend pas le château, j'en suis content ! ». C'est dans ce contexte que se situe le miracle du pain transformé en roses : alors qu'Elisabeth marchait sur la route avec son tablier rempli de pain pour les pauvres, elle rencontra son mari qui lui demanda ce qu'elle portait. Elle ouvrit son tablier et, au lieu du pain, apparurent des roses magnifiques. Ce symbole de charité est présent de nombreuses fois dans les représentations de sainte Elisabeth.

Son mariage fut profondément heureux : Elisabeth aidait son mari à élever ses qualités humaines à un niveau surnaturel, et lui, en échange, protégeait sa femme dans sa générosité envers les pauvres et dans ses pratiques religieuses. Toujours plus admiratif en raison de la foi profonde de son épouse, Ludovic, se référant à son attention envers les pauvres, lui dit : « Chère Elisabeth, c'est le Christ que tu as lavé, nourri et dont tu as pris soin ». Un témoignage clair de la façon dont la foi et l'amour envers Dieu et envers le prochain renforcent la vie familiale et rendent l'union matrimoniale encore plus profonde.

Le jeune couple trouva un soutient spirituel chez les frères mineurs, qui, à partir de 1222, se diffusèrent en Thuringe. Parmi eux, Elisabeth choisit le frère Roger (Rüdiger) comme directeur spirituel.

Lorsqu'il lui raconta l'épisode de la conversion du jeune et riche marchand François d'Assise, Elisabeth s'enthousiasma encore plus sur son chemin de vie chrétienne. A partir de ce moment, elle fut encore davantage décidée à suivre le Christ pauvre et crucifié, présent chez les pauvres. Même lorsque son premier fils naquit, suivi de deux autres, notre sainte ne négligea jamais ses œuvres de charité. En outre, elle aida les frères mineurs à construire à Halberstadt un couvent, dont frère Roger devint le supérieur. La direction spirituelle d'Elisabeth passa, ainsi, à Conrad de Marburg.

Une dure épreuve fut l'adieu à son mari, à la fin de juin 1227 lorsque Ludovic IV s'associa à la croisade de l'empereur Frédéric II, rappelant à sa femme qu'il s'agissait d'une tradition pour les souverains de Thuringe. Elisabeth répondit : « Je ne te retiendrai pas. Je me suis entièrement donnée à Dieu et à présent je dois aussi te donner ». Mais la fièvre décima les troupes et Ludovic tomba malade et mourut à Otrante, avant de s'embarquer, en septembre 1227, à l'âge de vingt-sept ans. Elisabeth, ayant appris la nouvelle, ressentit une telle souffrance qu'elle se retira dans la solitude, mais ensuite, fortifiée par la prière et réconfortée par l'espérance de le revoir au Ciel, elle recommença à s'intéresser aux affaires du royaume. Mais une autre épreuve l'attendait : son beau-frère usurpa le gouvernement de la Thuringe, se déclarant le véritable héritier de Ludovic et accusant Elisabeth d'être une femme pieuse incompétente pour gouverner. La jeune veuve, avec ses trois enfants, fut chassée du château de Wartburg et se mit à la recherche d'un lieu où trouver refuge. Seules, deux de ses servantes demeurèrent à ses côtés, l'accompagnèrent et confièrent les trois enfants aux soins des amis de Ludovic. En voyageant de village en village, Elisabeth travaillait là où elle était accueillie, elle assistait les malades, elle filait et elle cousait. Au cours de ce calvaire supporté avec beaucoup de foi, avec patience et dévouement à Dieu, certains parents qui lui étaient restés fidèles et considéraient comme illégitimes le gouvernement de son beau-frère, réhabilitèrent son nom. Ainsi Elisabeth, au début de l'année 1228, put recevoir un revenu approprié pour se retirer dans le château de famille à Marbourg, où habitait aussi son directeur spirituel frère Corrado. C'est lui qui rapporta au Pape Grégoire IX le fait suivant : « Le Vendredi saint de 1228, les mains posées sur l'autel dans la chapelle de sa ville de Eisenach, où il avait accueillie les frères mineurs, en présence de plusieurs frères et de parents, Elisabeth renonça à sa propre volonté et à toutes les vanités du monde. Elle voulait renoncer aussi à toutes ses possessions, mais je l'en dissuadais par amour des pauvres. Peu après elle construisit un hôpital, elle recueillit les malades et les invalides et elle servit à sa table les plus misérables et les plus abandonnés. L'ayant moi-même réprimandé à ce propos, Elisabeth répondit qu'elle recevait des pauvres une grâce spéciale et l'humilité » (Epistula magistri Conradi, 14-17).

Nous pouvons percevoir dans cette affirmation une certaine expérience mystique semblable à celle vécue par saint François : le Poverello d'Assise déclara en effet dans son testament, qu'en servant les lépreux, ce qui auparavant lui était amer fut transmué en douceur de l'âme et du corps (Testamentum, 1-3). Elisabeth passa les trois dernières années de sa vie dans l'hôpital qu'elle avait fondé, servant les malades, veillant avec les mourants. Elle essayait toujours d'accomplir les services les plus humbles et les travaux répugnants. Elle devint ce que nous pourrions appeler aujourd'hui une femme consacrée dans le monde (soror in saeculo) et forma, avec d'autres amies, vêtues de gris, une communauté religieuse. Ce n'est pas par hasard qu'elle est la patronne du Tiers Ordre régulier de saint François et de l'Ordre franciscain séculier.

En novembre 1231, elle fut frappée par de fortes fièvres. Lorsque la nouvelle de sa maladie se propagea, une foule de gens accourut lui rendre visite. Après une dizaine de jours, elle demanda que les portes fussent fermées, pour demeurer seule avec Dieu. Dans la nuit du 17 novembre, elle s'endormit doucement dans le Seigneur. Les témoignages sur sa sainteté furent si nombreux qu'à peine quatre ans plus tard, le Pape Grégoire IX la proclama sainte et, la même année, fut consacrée la belle église construite en son honneur à Marbourg.

Chers frères et sœurs, dans la figure de sainte Elisabeth nous voyons que la foi, l'amitié avec le Christ créent le sens de la justice, de l'égalité entre tous, des droits des autres et créent l'amour, la charité. Et de cette charité naît aussi l'espérance, la certitude que nous sommes aimés par le Christ et que l'amour du Christ nous attend et ainsi nous rend capables d'imiter le Christ et de voir le Christ dans les autres. Sainte Elisabeth nous invite à redécouvrir le Christ, à l'aimer, à avoir la foi et trouver ainsi la vraie justice et l'amour, ainsi que la joie d'être un jour plongés dans l'amour divin, dans la joie de l'éternité avec Dieu, Merci. (ZF10102003 )

 

Partager cet article
Repost0
26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 06:48

Des membres conservateurs de l'Église d'Angleterre ont répondu positivement à la main tendue par le pape Benoît XVI.

Un mois après le succès populaire de sa visite en Grande-Bretagne, le Pape a remporté une nouvelle victoire en terre anglaise. Après un vote à la majorité, les paroissiens de l'église anglicane St Peter's de Folkestone, dans le Kent, ont décidé de se convertir au catholicisme. Emmenés par leur prêtre, le père Stephen Bould, ces anglicans traditionalistes veulent quitter l'Église d'Angleterre en raison de leur opposition à une décision récente qui ouvre la voie à la nomination de femmes évêques. Au même moment, un évêque anglican a lui aussi provoqué un beau tollé en annonçant qu'il se rallierait à l'autorité du Pape, critiquant sèchement la tendance de plus en libérale de l'Église anglicane.

John Broadhurst, évêque de Fulham, a expliqué qu'il n'avait «pas d'autre choix que d'accepter l'offre du Pape». «Le synode [de l'Église d'Angleterre] est devenu vindicatif et méchant à notre égard, agissant de manière fasciste en marginalisant ceux qui s'opposent à l'ordination des femmes», a-t-il ajouté.

 

via le Figaro

Partager cet article
Repost0
25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 06:06

ICI: ce sont des liens de formation spirituelle...

Partager cet article
Repost0
23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 06:54

Elle a coulé sur le montant central d’une croix en acier située derrière le tombeau du bienheureux Vasyl Velychkovsky, dans l’église catholique ukrainienne Saint-Joseph de Winnipeg (Manitoba, Canada). La longue coulée a été remarquée et photographiée le 13 septembre dernier.

Il n’est pas rare qu’une huile mystérieuse suinte sur des icônes.

 

Vasyl Velychkovsky, torturé en URSS pour son rôle dans l'Eglise catholique clandestine, mort au Canada en 1973, a été reconnu comme martyr et béatifié en 2001. Higoumène du monastère basilien de Ternopil, il fut arrêté par la police communiste en 1945, condamné à mort, peine commuée en dix ans de goulag.

En 1963 il fut sacré archevêque ukrainien catholique de Moscou.

En 1969 il fut de nouveau arrêté, emprisonné pendant trois ans, et expulsé d’Union soviétique.

Extrêmement malade du fait des sévices qu’il avait endurés, il se rendit au Canada où il mourut peu après, le 30 juin 1973.

 

Il fut reconnu comme martyr et béatifié en 2001. On exhuma son corps, qui apparut intact, sans trace de corruption, et fut installé dans l’église Saint-Joseph de Winnipeg.

 

Depuis lors, de nombreux pèlerins viennent sur sa tombe, et un certain nombre de guérisons (y compris de cancers) ont eu lieu. L’huile est aussi un signe de guérison.

 

via le blog d'yves daoudal

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 06:59

Alors que la campagne de Carême de cette année des 40 Days for Life battait son plein à Indianapolis (Indiana), le téléphone portable d’une volontaire sonna alors qu’elle était en train de prier devant l’avortoir de Planned Parenthood. À l’autre bout du fil, une jeune femme Erin, parlait pour confirmer son rendez-vous à Planned Parenthood pour avorter. Erin s’était trompée de numéro de téléphone ! La volontaire en profita pour parler avec elle. Conséquence : Erin renonça à avorter, et la petite Elena est née quelques jours avant que débute cette campagne d’automne que nous vivons. Jamais de hasard : tout est grâce !

Partager cet article
Repost0